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Chronique éco de Nicolas Doze: le chômage record impose d’attaquer certains tabous Mai 10, 2013

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Contre le projet de loi visant à réduire la durée du statut Autoentrepreneur Mai 7, 2013

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Entrepreneuriat : comment libérer les talents et les compétences en France ? avril 3, 2013

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Communiqué de Presse d’Alternative Libérale du 03 mars 2013

Alors que la France fait face à une récession sans précédent, la classe politique française tend à se replier sur elle-même en recherchant des solutions dans l’ultra étatisme, le dirigisme, le nationalisme et le socialisme. Ces recettes ont pourtant échoué, de tout temps, et sous toutes les latitudes. Alternative Libérale, le parti pris de la liberté, fidèle à son engagement en faveur des valeurs de libertés, tient à rappeler que la France n’est pas une ile isolée, qui pourrait vivre sous un régime complètement étatique, mais que notre pays est au contraire une des composantes de l’Union Européenne, et qu’il s’enorgueillit de sa qualité de ses forces vives, à commercer par les entrepreneurs.

Alternative Libérale, avec le soutien du Forum Libéral Européen et de la Friedrich Naumann Foundation for Freedom, ont le plaisir de vous inviter au débat suivant :

Entrepreneuriat : comment libérer les talents et les compétences en France ?

Ce débat aura lieu le samedi 6 avril 2013 de 15h30 à 18h30 à la Société d’Encouragement pour l’Industrie Nationale, au 4 place saint Germain des Prés.

Les intervenants seront à la disposition des journalistes entre 15h30 et 16h.

Inscriptions sur fdeharven@alternativeliberale.fr

Il rassemblera les intervenants suivants :

Olivier Mousson| Président de la Société d’Encouragement pour l’Industrie Nationale

SUSANNE HARTIG| Directeur Exécutive du Forum Libérale Européen (ELF)

FRÉDÉRIC DE HARVEN| Président d’Alternative Libérale, membre d’ELF

SIR GRAHAM WATSON MEP| Président  du Parti ALDE, Les Libéraux Démocrates Européens

DENIS JACQUET| Président de la société d’e-learning Edufactory et du mouvement Parrainer la croissance.

ARMAND BOGAARTS| Entrepreneur et dirigeant (CDL, LCL Belgium, T-Plan N.V.)

ALEXANDER GRAF LAMBSDORFF | Député Européen (FDP), Vice-Président de l’ALDE

HERVE LAMBEL| président de l’organisation patronale Le Cerf, candidat à la présidence du Medef .

AZIZ SENNI | Entrepreneur Social, Fondateur Président du Conseil de Surveillance du fond d’investissement Business Angels des Cités, Fondateur Président d’ATA.

De cette rencontre, Alternative Libérale tirera des conclusions quant à la nécessité de laisser s’exprimer le potentiel entrepreneurial des français.

Contact : Frédéric de Harven, fdeharven@alternativeliberale.fr 0664899321

Intervention de Frédéric de Harven Président d’Alternative Libérale – Congrès du Nouveau Centre décembre 3, 2012

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Chers ami(e)s, Bonjour et merci de m’accorder ces quelques minutes.

C’est une joie pour moi de m’adresser à vous dans cette belle ville du Nord, qu’est Valence ! Car comme le disait Marius « c’est un homme du Nord, il est de Valence ».

Je m’adresse à vous aujourd’hui en ma qualité de président d’Alternative Libérale, le parti pris de la liberté (fondé en 2006). Association qui rassemble plusieurs centaines d’adhérents en France et en Europe. ThinkTank militant du Nouveau Centre, Alternative Libérale porte haut les valeurs d’Europe fédérale et de libéralisme humaniste.
Car contrairement aux idées reçues et aux discours clientélistes des hommes politiques qui accusent le libéralisme de tous les maux, le libéralisme authentique et démocratique tel que nous le défendons au sein d’Alternative Libérale est tout simplement le système politique le plus vertueux que nous ayons connu.
Depuis plus de 60 ans les dirigistes gaullistes et socialistes font croire aux Français que les idées libérales, pourtant très minoritaires dans notre pays, sont la cause du déclin dont ils sont les principaux responsables. Déjà au XIXe Siècle, Alexis de Tocqueville disait « Le goût des fonctions publiques et le désir de vivre de l’impôt n’est point chez nous une maladie particulière à un parti, c’est la grande et permanente infirmité de la nation elle-même. » Pour ce faire, les dirigistes ont fabriqué un libéralisme fantasmagorique, une espèce de fourre-tout idéologique dans lequel ils mélangent la loi de la jungle, les banques, le capitalisme «sauvage», les multinationales, l’égoïsme, l’impérialisme américain, la dérégulation, la mondialisation et la construction européenne, etc. Ce fourre-tout est malheureusement soutenu et amplifié par des médias, des économistes, des penseurs français, qui dans leurs grande majorité ignorent nos valeurs et accroissent la désinformation. Ils en ont une vision atrophiée, « machine à créer de la richesse ».
La caricature a assez duré.  Il est temps de dénoncer les idées reçues sur le libéralisme et de montrer au grand jour la mauvaise foi du pouvoir en place. Le libéralisme est une philosophie cohérente qui déclare l’individu souverain et lui reconnaît des Droits égaux associés à des responsabilités. Le libéralisme économique et le libéralisme politique découlent de cette philosophie. En cela, le libéralisme est aussi humaniste. Cependant le socialisme se veut aussi à visage humain. Dubček en 1968 avait choisi comme slogan, « le socialisme à visage humain ». Au cours des deux trois derniers siècles les seules ordres sociaux qui ont respecté la liberté des individus ont été des ordres sociaux libéraux. Inversement, tous les pays qui ont choisi le communisme, le national-socialisme, les fascismes, le franquisme, le salazarisme, le Maoïsme, Pol Pot, tous avait en commun un ennemie : le libéralisme ou plus encore l’individu, plaçant l’Etat comme étant capable de représenter l’intérêt général, de nous rendre heureux, de ramener la prospérité en temps de crise, cultivant le patriotisme économique, quand ils ne poussent pas les peuples à s’entretuer au nom de la Nation. Sachons tirer les leçons de l’histoire et ne plus jamais laisser se développer de régimes totalitaristes.
Dans l’expression  « grand capital », issue de l’imagerie marxiste, le « grand capital » désigne une supposée classe de possédants qui détiendrait le capital des grandes sociétés et dont les libéraux seraient les « alliés ». Or si les libéraux sont bien partisans de l’économie de marché, de la libre entreprise et de la concurrence, en revanche ils s’opposent fermement à toute collusion entre le pouvoir politique et les entreprises. Pourtant dans notre société étatiste, les grandes entreprises doivent généralement leur réussite à des concessions, aides, réglementations, protections, marchés accordés directement ou indirectement par les pouvoirs publics. Donc, si par « grand capital » on désigne les dirigeants et actionnaires de ces grandes entreprises proches du pouvoir, assurées de ne jamais faire faillite, toujours renflouées par l’Etat au détriment de leurs concurrents mieux gérés, alors les libéraux sont clairement les ennemis du « grand capital ». Permettez-moi ici de faire une petite digression sur la nationalisation de Florange : je donne raison au maire de Londres, Boris Johnson. Quant allons-nous avoir des politiciens soucieux de donner une vision, en l’occurrence industrielle à long terme ?   Cependant, nous ne devons pas avoir honte de gagner de l’argent quand il est le résultat du travail accompli.  Il faut encourager la production de richesse et seulement après nous pourrons aller vers plus de solidarité. Jacques de Guenin  définit le libéralisme comme étant « d’abord une morale individuelle, ensuite une philosophie de la vie en société dérivée de cette morale, enfin seulement, une doctrine économique qui se déduit logiquement de cette morale et de cette philosophie ». Bastiat disait d’ailleurs « L’État, c’est la grande fiction à travers laquelle tout le monde s’efforce de vivre aux dépens de tout le monde ».
La régulation voulue par les libéraux naît de la loi de l’offre et de la demande, et de la concurrence économique ou intellectuelle entre individus libres et responsables. Les libéraux ne sont donc pas contre la régulation, en revanche ils sont très méfiants vis à vis des réglementations excessives et centralisées, marques de fabrique du dirigisme économique ou moral. Au nom de la « justice sociale », les socialistes utilisent la coercition et le dirigisme comme base de leur système politique. Or, la philosophie libérale en plaçant la liberté, la responsabilité et surtout le consentement individuel au sommet des valeurs politiques est fondamentalement non-violente. Les libéraux veulent des échanges pacifiques sans frontières ni contraintes, tandis que les étatistes érigent des barrières. Bastiat disait d’ailleurs « Détruire la concurrence, c’est tuer l’intelligence ».

Chers amis, je vais m’arrêter là, faute de temps, mais si comme moi vous souhaitez construire ensemble une économie libérale de croissance, soucieuse de  solidarité sociale, une France et une Europe prospères ou il fait bon vivre, ou la valeur travail et l’entreprenariat sont encouragés, alors rejoignez le Think Tank Alternative Libérale ! Défendez avec nous, au sein du Nouveau Centre, ces valeurs qui ont fait leurs preuves et qui nous font si grandement défaut aujourd’hui en France et en Europe.
Chers Amis du Nouveau Centre, merci pour votre accueil chaleureux et pour votre grande attention !  Alternative Libérale vous invite tous afin de redonner ensemble le pouvoir à des citoyens libres, responsables et prospères !

Frédéric de Harven

Président d’Alternative Libérale

Florange et les frasques de Montebourg décembre 3, 2012

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Moody’s downgrades France’s government bond rating to Aa1 from Aaa, maintains negative outlook novembre 19, 2012

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Ci-dessous l article de Moody’s et la dégradation de la France.
L’article ci dessous est disponible sur le site de Moody’s http://www.moodys.com/research/Moodys-downgrades-Frances-government-bond-rating-to-Aa1-from-Aaa–PR_260071

Moody’s downgrades France’s government bond rating to Aa1 from Aaa, maintains negative outlook

Global Credit Research – 19 Nov 2012

 Frankfurt am Main, November 19, 2012 — Moody’s Investors Service has today downgraded France’s government bond rating by one notch to Aa1 from Aaa. The outlook remains negative.

Today’s rating action follows Moody’s decision on 23 July 2012 to change to negative the outlooks on the Aaa ratings of Germany, Luxembourg and the Netherlands. At the time, Moody’s also announced that it would assess France’s Aaa sovereign rating and its outlook, which had been changed to negative on 13 February 2012, to determine the impact of the elevated risk of a Greek exit from the euro area, the growing likelihood of collective support for other euro area sovereigns and stalled economic growth. Today’s rating action concludes this assessment.

Moody’s decision to downgrade France’s rating and maintain the negative outlook reflects the following key interrelated factors:

1.) France’s long-term economic growth outlook is negatively affected by multiple structural challenges, including its gradual, sustained loss of competitiveness and the long-standing rigidities of its labour, goods and service markets.

2.) France’s fiscal outlook is uncertain as a result of its deteriorating economic prospects, both in the short term due to subdued domestic and external demand, and in the longer term due to the structural rigidities noted above.

3.) The predictability of France’s resilience to future euro area shocks is diminishing in view of the rising risks to economic growth, fiscal performance and cost of funding. France’s exposure to peripheral Europe through its trade linkages and its banking system is disproportionately large, and its contingent obligations to support other euro area members have been increasing. Moreover, unlike other non-euro area sovereigns that carry similarly high ratings, France does not have access to a national central bank for the financing of its debt in the event of a market disruption.

At the same time, Moody’s explains that France remains extremely highly rated, at Aa1, because of the country’s significant credit strengths, which include (i) a large and diversified economy which underpins France’s economic resiliency, and (ii) a strong commitment to structural reforms and fiscal consolidation, as reflected in recent governmental announcements, which may, over the medium term, mitigate some of the structural rigidities and improve France’s debt dynamics.

In a related rating action, Moody’s has also downgraded the ratings of Société de Financement de l’Economie Française (SFEF) and Société de Prise de Participation de l’État (SPPE) to Aa1 from Aaa. Furthermore, Moody’s has affirmed the Prime-1 rating of SPPE’s euro-denominated commercial paper programme. The outlooks on the ratings of the two entities remain negative. The senior debt instruments issued by the two entities are backed by unconditional and irrevocable guarantees from the French government.

RATINGS RATIONALE

The first driver underlying Moody’s one-notch downgrade of France’s sovereign rating is the risk to economic growth, and therefore to the government’s finances, posed by the country’s persistent structural economic challenges. These include the rigidities in labour and services markets, and low levels of innovation, which continue to drive France’s gradual but sustained loss of competitiveness and the gradual erosion of its export-oriented industrial base.

The rise in France’s real effective exchange rate in recent years contributes to this erosion of competitiveness, in particular relative to Germany, the UK and the US. The challenge of restoring price-competitiveness through wage moderation and cost containment is made more difficult by France’s membership of the monetary union, which removes the adjustment mechanism that the ability to devalue its own currency would provide.

Apart from elevated taxes and social contributions, the French labour market is characterised by a high degree of segmentation as a result of significant employment protection legislation for permanent contracts. While notice periods and severance payments are not significantly higher than they are in other European countries, some parts of this legislation make dismissals particularly difficult. This judicial uncertainty raises the implicit cost of labour and creates disincentives to hire. In addition, the definition of economic dismissal in France rules out its use to improve a firm’s competitiveness and profitability.

Moreover, the regulation of the services market remains more restrictive in France than it is in many other countries, as reflected in the OECD Indicators of Product Market Regulation. The subdued competition in the services sector also has a negative effect on the purchasing power of households and the input costs of enterprises. France additionally faces significant non-price competitiveness issues that stem from low R&D intensity compared to other EU countries.

Moody’s recognises that the government recently announced measures intended to address some of these structural challenges. However, those measures alone are unlikely to be sufficiently far-reaching to restore competitiveness, and Moody’s notes that the track record of successive French governments in effecting such measures over the past two decades has been poor.

The second driver of today’s rating action is the elevated uncertainty with respect to France’s fiscal outlook. Moody’s acknowledges that the government’s budget forecasts target a reduction in the headline deficit to 0.3% of GDP by 2017 and a balancing of the structural deficit by 2016. However, the rating agency considers the GDP growth assumptions of 0.8% in 2013 and 2.0% from 2014 onwards to be overly optimistic. On top of rising unemployment, France’s consumption levels are being weighed down by tax increases, subdued disposable income growth and a correction in the housing market. Net exports are unlikely to drive economic activity in light of reduced external demand, in particular from euro area trading partners such as Italy and Spain.

As a result, Moody’s sees a continued risk of fiscal slippage and of additional consolidation measures. Again, based on the track record of successive governments in implementing fiscal consolidation measures, Moody’s will remain cautious when assessing whether the consolidation effort is sufficiently deep and sustained.

The third rating driver of Moody’s downgrade of France’s sovereign rating is the diminishing predictability of the country’s resilience to future euro area shocks in view of the rising risks to economic growth, fiscal performance and cost of funding. In this context, France is disproportionately exposed to peripheral European countries such as Italy through its trade linkages and its banking system.

Moody’s notes that French banks have sizable exposures to some weaker euro area countries. As a result, despite their good loss-absorption capacity, French banks remain vulnerable to a further deepening of the crisis due to these exposures and their significant — albeit reduced — reliance on wholesale market funding. This vulnerability adds to the government’s contingent liabilities arising from the French banking system.

Moreover, France’s credit exposure to the euro area debt crisis has been growing due to the increased amount of euro area resources that may be made available to support troubled sovereigns and banks through the European Financial Stability Facility (EFSF), the European Stability Mechanism (ESM) and the facilities put in place by the European Central Bank (ECB). At the same time, in case of need, France — like other large and highly rated euro area member states — may not benefit from these support mechanisms to the same extent, given that these resources might have already been exhausted by then.

In light of the liquidity risks and banking sector risks in non-core countries, Moody’s perceives an elevated risk that at least part of the contingent liabilities that relate to the support of non-core euro area countries may actually crystallise for France. The risk that greater collective support will be required for weaker euro area sovereigns has been rising, most for notably Spain, whose economy and government bond market are around twice the combined size of those of Greece, Portugal and Ireland. Highly rated member states like France are likely to bear a disproportionately large share of this burden given their greater ability to absorb the associated costs.

More generally, further shocks to sovereign and bank credit markets would further undermine financial and economic stability in France as well as in other euro area countries. The impact of such shocks would be expected to be felt disproportionately by more highly indebted governments such as France, and further accentuate the fiscal and structural economic pressures noted above. While the French government’s debt service costs have been largely contained to date, Moody’s would not expect this to remain the case in the event of a further shock. A rise in debt service costs would further increase the pressure on the finances of the French government, which, unlike other non-euro area sovereigns that carry similarly high ratings, does not have access to a national central bank that could assist with the financing of its debt in the event of a market disruption.

Today’s rating action on France’s government bond rating was limited to one notch given (i) the country’s large and diversified economy, which underpins France’s economic resiliency, and (ii) the government’s commitment to structural reforms and fiscal consolidation. The limited magnitude of today’s rating action also reflects an acknowledgment by Moody’s of the French government’s ongoing work on a reform programme to improve the country’s competitiveness and long-term growth perspectives, with key measures expected to be outlined in the National Pact for Growth, Competitiveness and Employment. Moreover, on the fiscal side, the European Treaty on the Stability, Coordination and Governance of the Economic and Monetary Union (TSCG), known as the « fiscal compact », will be implemented through the Organic Law on Public Finance Planning and Governance.

RATIONALE FOR CONTINUED NEGATIVE OUTLOOK

Moody’s decision to maintain a negative outlook on France’s government bond rating reflects the weak macroeconomic environment, and the rating agency’s view that the risks to the implementation of the government’s planned reforms remain substantial. Moreover, Moody’s currently also holds negative outlooks on those Aaa-rated euro area sovereigns whose balance sheets are expected to bear the main financial burden of support via the operations of the EFSF, the ESM and the ECB. Apart from France, these countries comprise Germany (Aaa negative), the Netherlands (Aaa negative) and Austria (Aaa negative).

WHAT COULD MOVE THE RATING UP/DOWN

Moody’s would downgrade France’s government debt rating further in the event of additional material deterioration in the country’s economic prospects or difficulties in implementing reform. Substantial economic and financial shocks stemming from the euro area debt crisis would also exert further downward pressure on France’s rating.

Given the current negative outlook on France’s sovereign rating, an upgrade is unlikely over the medium term. However, Moody’s would consider changing the outlook on France’s sovereign rating to stable in the event of a successful implementation of economic reforms and fiscal measures that effectively strengthen the growth prospects of the French economy and the government’s balance sheet. Upward pressure on France’s rating could also result from a significant improvement in the government’s public finances, accompanied by a reversal in the upward trajectory in public debt.

septembre 12, 2012

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Nicolas Doze « Alors qu’elle se dirige vers la récession, la France doit-elle (provisoirement) renoncer à l’objectif des 3% de déficit ? « Oui », répond sans hésiter Nicolas Doze, mardi sur BFM TV. « Si on le fait, on va tout (les perspectives de croissance) casser et puis, de toute façon, on n’y arrivera pas. Les marchés n’attendent pas 3% à la fin de 2013, mais une stratégie à 5 ans. Il n’y a qu’à relire le rapport de la Cour des comptes, tout était dit dedans : arrêter d’augmenter les prélèvements, jouer sur les dépenses. Il y a une réforme structurelle urgentissime que nous n’avons jamais engagé, celle de la réduction des dépenses (publiques, ndlr) au travers d’une question, ‘Quel est le bon périmètre de l’État ?’, ‘Qu’est-ce que l’État doit continuer de faire ?’, ‘Qu’est-ce que l’État doit cesser de faire ?’  »

Dictionnaire du libéralisme Sous la direction de Mathieu Laine Mai 9, 2012

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ImageAu coeur de tous les débats, le libéralisme suscite polémiques et controverses. Souvent caricaturé, il s’avère largement méconnu. D’aucuns affirment qu’il domine le monde, alimente les crises et nous mène à la ruine. D’autres, qu’il n’a jamais été pleinement mis en oeuvre et qu’il est la meilleure alternative à l’interventionnisme croissant de l’État dans tous les domaines. Certains le perçoivent comme un vent mauvais, venu d’Angleterre et des États-Unis, qui s’accompagne de l’obsession de l’argent, du profit et de l’atomisation de la société. D’autres rappellent qu’il est né en France pour défendre les hommes et les femmes contre l’arbitraire du pouvoir politique et qu’il est un système moral fondé sur les valeurs suprêmes que sont la liberté et la responsabilité.
Ce dictionnaire offre pour la première fois une vision complète du libéralisme et permet au lecteur de découvrir, derrière l’étiquette de « libéral », une variété d’écoles et d’approches. Occasion unique de mieux comprendre cette philosophie contestée, cet ouvrage traite, en près de 300 entrées, de sujets tels que l’action humaine, l’anarchie, le chômage, le conservatisme, la dette, l’entrepreneur, la grève, l’impôt, le libertinisme, le nationalisme, la paix, le principe de précaution, le racisme… On y croise également des auteurs aussi différents que Aron, Friedman, Hayek, Kant, Keynes, Nietzsche, Rothbard, Say, Smith ou Tocqueville.

 M. Laine écrit dans un entretien publié dans Atlantico le 12 avril 2012 : « J’ai rassemblé dans cet ouvrage les meilleurs spécialistes du sujet. En présentant, dans chaque entrée, ce que pensent les différentes écoles libérales (des socialistes libéraux aux anarcho-capitalistes en passant par les enfants de Aron, de Tocqueville, de Hayek ou de Rand), nous apportons au débat public une occasion de se réinventer et de découvrir que, sur toutes les grandes questions contemporaines, de la politique monétaire à l’éducation en passant par la guerre, la démocratie, le chômage, le maternage, l’ordre spontané ou le rôle de l’entrepreneur, les libéraux ont une multitude d’idées innovantes et pertinentes. Je crois pouvoir dire que nous avons réussi à faire un ouvrage qui n’a pas son pareil en langue française : c’est un concentré, référencé mais accessible, sur la pensée libérale dans sa totalité. »

 Mathieu Laine a créé et anime le séminaire de Sciences Po « Introduction à la pensée libérale ». Il dirige le cabinet de conseil en stratégie Altermind. Il est également membre du comité de rédaction de la revue Commentaire et auteur de plusieurs essais, dont La Grande Nurserie et Post-politique.
Spécialistes reconnus dans leurs domaines respectifs, les 65 auteurs du Dictionnaire du libéralisme sont économistes, juristes, philosophes, sociologues, psychiatres ou historiens.

Libéraux, indignez-vous ! Mai 8, 2012

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Publié le 7 mai 2012 sur Atlantico

Nombreux sont les Libéraux qui se sont exprimés ces dernières semaines afin de faire entendre nos valeurs lors de l’élection présidentielle. Si nous pouvons nous réjouir de la participation massive de Français lors de ce scrutin, nous ne pouvons que regretter le peu de place accordée à nos propositions.

Les enjeux déterminants pour l’avenir de la France n’ont malheureusement pas été abordés lors de ce scrutin. Entre un candidat qui louvoie, en prenant bien soin d’éviter tout sujet de premier plan et dont le programme en matière économique est périmé depuis 30 ans, et un président sortant conscient des problèmes mais qui propose principalement des solutions qui peuvent se résumer en ces mots « il n’y a pas de problème que l’Etat ou l’impôt ne puisse résoudre », l’offre politique pour nous les Libéraux était fortement réduite. La pérennité de notre modèle social, la dette publique, la réduction des dépenses étaient autant de sujets tabous durant ces élections. Et pourtant il y a urgence, la France étant proche de la faillite ! Quand allons-nous comprendre que nous ne pourrons conserver notre modèle social « à la française » que si nous acceptons de changer d’époque, en laissant derrière nous le modèle étatiste pour plus de liberté, de responsabilité et d’entreprenariat ? Ne vous méprenez pas, il est possible de diminuer nos dépenses tout en maintenant un service public de qualité, mais faut-il encore en avoir le courage politique.

Ce message courageux, plein de bon sens et de responsabilité, les Libéraux le portent. Dès le mois de juin, aux élections législatives, vous aurez la possibilité par votre vote de soutenir une vraie alternative aux dérives dépensières et étatistes de l’UMPS.

Fort de ce constat, et alors qu’une nouvelle alternance débute, il est important, pour notre avenir et celui de nos enfants, de créer un courant de centre droit fort et indépendant. Cette fédération des centres devra rassembler l’ensemble de la famille centriste, libérale, européenne et démocrate. En effet, nous les Libéraux partageons de nombreuses valeurs avec les Centristes. Nous souhaitons une société plus juste, sans privilèges ni passe-droits, qui respecte l’Homme et où le choix de la liberté et de la responsabilité prime sur l’omniprésence de l’Etat dans nos vies quotidiennes.

Au lendemain de l’élection présidentielle, nous ne pouvons que regretter que cette fédération n’ait pas pu rassembler davantage ses composantes. Cependant, l’alternance qui s’ouvre aujourd’hui est pour nous une seconde chance que nous devons saisir à bras le corps. Forte de plusieurs années d’expériences riches d’enseignements (électoraux notamment) et solidement implantée sur la scène européenne, Alternative Libérale est prête à relever ce défi et à porter haut et fort nos valeurs. Ainsi, j’appelle tous les Libéraux, élus locaux, parlementaires, sympathisants, militants marginalisés au sein de leurs partis actuels ou militants actifs de think tanks, à nous rejoindre.

Libéraux indignés, mais pas résignés, unissons-nous pour mieux gagner demain !

« Errare humanum est, sed diabolicum perseverare »

 

Election de François Hollande : l’état de grâce sera bref Mai 6, 2012

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Communiqué de presse du 06 mai 2012 de Hervé Morin

Les Français se sont exprimés et ont décidé d’accorder leur confiance à François Hollande. Je ne peux que prendre acte de ce choix, même si je suis intimement convaincu que le candidat socialiste vient d’être élu sur la base d’un programme intenable et irréaliste pour nos finances publiques qui va très rapidement, et violemment, se heurter à un principe de réalité. Viendra alors, et plus vite qu’on ne pourrait l’imaginer, le temps des désillusions.
 
J’espère que François Hollande aura la lucidité de garder en mémoire que tout au long de ces mois de campagne, sa candidature et son projet n’ont déclenché ni enthousiasme ni élan.
 
Cette défaite s’inscrit dans un mouvement général qui pousse l’ensemble des peuples européens, après plusieurs années de crises, à choisir la voie de l’alternance politique. A cela s’ajoute la fatalité sous la Ve République qui veut qu’aucun président sortant, à l’exception des périodes de cohabitation, n’ait été réélu pour un second mandat. Mais il nous reste encore une bataille à mener, et non des moindres : celle des élections législatives.
 
Nous devons dès aujourd’hui, et plus que jamais, nous mobiliser pour que la majorité sortante reste en force à l’Assemblée nationale, seule façon de maintenir un contre-pouvoir à l’hégémonie socialiste, qui tient déjà dans sa main une grande majorité des collectivités locales, la quasi-totalité des régions, le Sénat, et maintenant la Présidence de la République.
 
Nous devons mener cette campagne en conservant le discours de courage, de lucidité et de vérité qui a été le notre pendant cette campagne, en comptant sur l’esprit de responsabilité des Français. Plus que les autres, il nous appartient à nous centristes d’incarner la modernité et de porter des idées nouvelles pour entrer de plain-pied dans le monde nouveau qui se dessine sous nos yeux.
Cette bataille pour les élections législatives doit être aujourd’hui notre unique priorité. J’y mettrai pour ma part toute mon énergie, en allant sur le terrain soutenir tous les candidats qui porteront les couleurs et les valeurs du Nouveau Centre.
 
Après ces échéances viendra le temps de la reconstruction de la famille centriste. Nous devrons le faire avec des hommes et des femmes de conviction animés par l’intérêt collectif et non par des intérêts personnels, ayant la même ambition sincère et franche de travailler ensemble pour reconstruire un mouvement uni qui nous permette de porter nos idées et nos valeurs.